Blog de HumanityIsADanger

Prologue

Nous sommes tous en danger. Les forces de l'ordre ne peuvent plus nous protéger. Cela me fait penser aux comics que mon arrière-arrière-arrière-grand-père nous a légué ; Walking Dead. Je serais plus heureuse de devoir faire face aux zombies, mais c'est bien pire...

Nous devons faire face à l'humanité.

texte de Lucie

Nous sommes répertorié ici: ♦

généreusement répertoiré!

Nos blogs perso: Lise

Lucie

Prologue ., L'humanité, dangers, WALKING DEAD, Fiction.

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#Posté le jeudi 10 juillet 2014 17:28

Modifié le vendredi 15 août 2014 09:19

Chapitre 1

CHAPITRE I :

«Cours tout le long du chemin. C'est ta vie que tu risques en sortant. Et n'oublie pas de bien fermer le bunker... » Ma mère est une personne assez grande, elle a les cheveux brun foncé et des yeux sombres. Elle a toujours été froide avec moi. J'étais un accident, elle ne me souhaitait pas. Le monde est trop dangereux pour avoir un enfant. Mon père est mort d'une maladie quand j'avais 2 ans, je ne me souviens plus de lui.
-Tu m'entends ? Si tu n'es pas de retour dans 1H30, je fais mon deuil sans aucunes questions.
-Oui. Dis-je, je sais très bien que je reviendrais.
-N'en sois pas si sûre. Tu emmènes les papiers au laboratoire et tu reviens tous de suite.
Je sors de l'entrepôt sans lui dire au revoir. Je connais parfaitement le chemin vers le laboratoire, j'y vais tous les deux jours pour emmener les textes de ma mère, qui est journaliste. Elle n'ose pas y aller alors elle envoi sa fille de seize ans le faire. Je cours tous le long en serrant contre moi la pochette et en tenant fors l'arme blanche qui est dans ma poche. Je mets une cinquantaine de minutes pour arriver, là-bas tout le monde me connait j'y vais depuis plus de six ans. C'est comme ma famille. Je reste plus longtemps que je ne devrais mais ma mère en a l'habitude, elle doit s'en doute trouver normal qu'une adolescente ne souhaite pas vivre en ermite. Mais il n'y a qu'une personne que je cherche; Lucas. C'est mon meilleur ami, je l'ai rencontré il y a 1 an. Il avait commencé un stage de journaliste et a présent il y vit tout le temps.
-Lucas ! Comment ça va ? Lui dis-je en le serrant dans mes bras.
-Oh, Zoé. Je vais bien, je pense que toi aussi. Attends juste que je finisse cet article et je te rejoins.
-D'accord. Je vais nous chercher quelques trucs a mangé et je te retrouve dans ta chambre...
Il me semble étrange, cet article m'intrigue car il laisse rarement passé un de ses écrits avant moi. Surtout que ma mère écrit moins, elle me semble malade. Sûrement le manque de vitamine, nous le sommes tous un peu car les lampes ne nous donne pas la force du soleil.
Je me dirige dans les couloirs gris du bâtiment, la cafétéria est vide. Je me demande toujours comment ils font pour avoir de la nourriture, idem chez moi... Je prends deux cafés et me dirige vers la chambre de Lucas. Je rentre sans toqué, sa chambre est grise et seul un lit en bois y trône au centre.
-Merci pour le café. Il faut que je te parle...

Chapitre 1. ♥, zoe, Cour pour ta vie, dangers, Lucas

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#Posté le vendredi 11 juillet 2014 04:33

Chapitre 2

CHAPITRE II :

« Je dois partir d'ici... »
Ces paroles n'ont pas tout de suite trouvé leur sens, mais je ne pouvais pas resté de marbre. Il était mon meilleur ami et le sera à jamais mais nous n'aurons aucun moyen de communication et c'est le seul endroit où je vais en dehors de ma maison...
« Je viens avec toi, alors. Ou allons-nous ?
-Tu veux dire, ou je vais. Tu ne viens pas.
-Mais pourquoi, criais-je, du jour au lendemain tu m'abandonnes ? Sans raisons ? Qu'elle est la raison ?
-Je ne peux pas te le dire... me dit-il en un murmure.
-Tu te fiche de moi, là ! Tu crois vraiment que je vais te laisser partir comme ça ? Criai-je en démêlant mes cheveux de mes larmes.
-Non, c'est pour ça qu'ils sont là...
A présent, je vois flou et une vive douleur me vient à la tête. J'entends Lucas dire quelque chose mais il parait si loin de moi que je ne comprends pas. Je ne vois plus que mes larmes et je ne me retiens plus : je tombe sur le sol et ferme mes yeux.

Je vois mon père, il est grand et large, mais je ne vois pas son visage. Je ne suis pas sûre que ce soit lui. Il me répète que tout ira bien, que je dois rester aux cotés de ma mère à l'abri...

Lorsque je me réveille, je suis allongé sur un lit. Je ne suis plus dans la chambre de Lucas, non l'ancienne chambre de Lucas... Je me souviens de tout ! Il m'a laissé, il faut que je le retrouve. Je me redresse brusquement et pose mes pieds au sol. Tout tourne autour de moi mais ce n'est qu'un détail... Une femme court à mon chevet ; elle est blonde et grande, ses yeux en amande bleus sont protecteurs.
« Non, tu ne peux pas partir pour aller chercher ton ami. Il m'avait prévenu.
-Je ne veux plus le voir, criai-je avec une conviction qui me surprend. Je veux rentrer chez moi ! Ma mère dois s'inquiéter.
-Oh, très bien. Prend une pomme pour le chemin, et sois courageuse. Son ton est doux, j'aurais adoré que ma mère sois comme ça... Je secoue la tête pour me reprendre
-Non. Je ne veux rien de vous, dis-je d'un ton froid. Au revoir, non adieu. »
Je partis en courant. Une fois rentré ma mère était rouge de colère mais je n'ai rien entendu, je n'ai pas fait attention à ses paroles.
« Tu sais où est parti Lucas ? Lui demande ai-je.
-Oui, à la ville la plus proche ; Chicago. C'est vers le nord à environs une journée de marche. Je suis désolé pour toi.
-Ouais. Je vais dans ma chambre. »
J'ouvris mon armoire d'un geste brusque, pris mon sac-à-dos et le rempli de plein d'affaires, de nourriture.
Je rejoignis ma mère dans le salon, le sac sur mes épaules.
« Au revoir, maman. Je pars pour Chicago, pour Lucas. Tu devais t'attendre à ma réaction. Elle ouvrit la bouche mais je l'arrêtais. Les adieux ne sont pas utiles, un jour ou l'autre nous serons ensemble. Que tu, ou je, ne le veuilles. J'ai pris quelques armes, mais je veux découvrir le monde. A bientôt. »

Lucas, Aurevoir ♥, Larmes...

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#Posté le mercredi 16 juillet 2014 05:14

Chapitre 3

Je marche depuis longtemps déjà sans trop savoir où aller mais avec une seule idée en tête : retrouver Lucas. Je me repasse sans cesse le moment des adieux, sa voix tremblante et son regard fuyant.

Pourquoi était-il parti?

Ca avait l'air important. J'avais tant de questions en tête et personne pour y répondre dans l'immédiat. Je commence à avoir mal aux jambes et la nuit ne va pas tarder à tomber donc je m'installe pour dormir. Je ne suis pas très rassurée et je sens que le sommeil va être léger.

Je somnole près du feu quand soudain j'aperçois une ombre au loin accompagnée d'un bruit de feuillage. Je me lève d'un bond et scrupte tout autour de moi.. plus rien.

Au petit matin, j'ouvre les yeux mais reste couchée. Je regarde le ciel. Je vois son visage, Lucas. Mais où est-il?

J'ai tellement de chose à lui raconter, mon meilleur ami me manque. Je reprends la route plus motivée que jamais. Le ciel est bleu, les oiseaux chantent. Tout à l'air si parfait comme pour annoncer une belle journée. La chaleur du soleil est intenable en pleine après-midi.

J'arrive devant un panneau " Chicago 10km ". Je reprends espoir, je suis sur la bonne direction. J'accélère le pas. Je me sens suivie. Mais qui pourrait faire ça? Qui aurait décidé de suivre une pauvre jeune fille? Ca doit être la chaleur qui fait débloquer mon cerveau.

Lise

Fiction, forêt, Zoé, Lucas

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#Posté le mardi 22 juillet 2014 13:03

Modifié le mardi 22 juillet 2014 13:14

Chapitre IV

CHAPITRE IV :

Je continue de marcher, la chaleur est étouffante et je manque d'eau. Les routes sont vides. Je rentre dans Chicago, elle est barricadée mais il n'y a personne pour surveiller.
Je dois aller vers les bureaux du journal. Les rues sont vides mais il doit bien avoir des personnes, enfermé dans leurs caves sinon à quoi servirait un journal-papier ?
J'entends un bruit et je me retourne vivement, derrière moi un jeune homme d'une vingtaine d'années se tient debout. Il est grand, brun et ses yeux verts m'analysent. Il doit être beau si il n'essayait pas de me tuer ou je ne sais quoi mais il ne fait rien, il reste sur place à me regarder. Il n'a pas l'air d'avoir peur et j'identifie la forme d'un pistolet sous son t-shirt, je cherche alors dans ma poche mon arme blanche prête à me battre mais elle n'est plus là... J'ouvre des grands yeux étonné et paniqué, les larmes me montent.

« Tu as un problème ? Commença-il d'une voix douce. Tu ne devrais pas te promener sans armes blanche, il sort alors de sa poche mon couteau et sur son visage naît un sourire mesquin...
-Je ne sais pas qui tu es et ce que tu me veux mais si tu me rends mon couteau, je pars et je ne te parlerais plus jamais...
-Je m'appelle Ethan et toi ? Tu crois vraiment que c'est en te battant avec un couteau à beurre que tu vas survivre, surtout à Chicago ? dit-il en riant de plus belle.
-Qu'est-ce ça peut te foutre, lui répondis-je froidement. Ça sera toujours mieux que rien...
-Si tu me dis ton nom, je te nourris, te loge et t'apprends à tirer au pistolet. Et après je t'emmènerais là où tu veux aller.
-Zoé. OK mais donne-moi mon couteau, s'il-te-plaît. »
Il tend mon canif et je le suis, je sens que je peux lui faire confiance...

« Voilà, c'est modeste mais on peut s'enfermé dans la cave au cas où une attaque nous surprendrais.
-Merci, Ethan. Je ne te dérangerais pas longtemps, promis.
Je le trouve de plus en plus beau, ses cheveux bruns sont cours et il est grand...
-Tu ne me gêne pas. Tu veux aller où ? Tu es toute seule ?
-OK. Au journal et je me suis enfui de chez moi pour retrouver mon meilleur ami...
Mes paroles me réveillent et me ramène à mon but. J'ai été déstabilisé par la belle vue et la gentillesse mais Lucas compte plus que tout.
-Au journal, pour y voir qui ? Dit-il en plissant les yeux (il est encore plus mignon, comme ça !)
-Lucas, dis-je en tremblant.
Les noms de familles ne sont pas nécessaire, il n'y a pas assez de personnes dans ma « ville » pour avoir des ressemblances de prénom.
-Vraiment ? Qu'elle coïncidence ! Il rit, mais j'ai l'impression qu'il m'insulte je fronce des sourcils.
-Quoi ?
-Tu cherches Lucas ? criait-il
-On m'a appelé ? Dit une voix cachée par un mur.
Une silhouette apparue et s'approcha de la lumière. C'était Lucas !
-Zoé ???
Ethan ria de plus belle, on ne pouvait plus l'arrêté. Des larmes coulaient de ses yeux. Je m'énervais :
-Mais merde, c'est quoi votre soucis ? Je me tournai vers Lucas : T'as un frère et tu m'as pas prévenue, parfois je me demande pourquoi je suis venu alors que je ne connaissais rien, rien du tout, de toi ! J'éclatais intérieurement.
-Je peux...
-Non ! Lui coupais-je. Tu la ferme, laisse-moi terminé. Tu habitais avant à Chicago, je ne le savais pas. Tu as un grand frère adorable, je ne le savais pas.
Je m'arrêtais en comprenant que j'avais dit adorable. Lucas fit de grand yeux et Ethan se stoppai de rire, j'aurais pu deviner qu'ils étaient frères. Je sentis le rouge se marquer sur mes joues, Ethan me lança un clin d'œil et Lucas le regardait :
-Ethan, dégage ! Sors de là, va dans ta chambre ou je ne sais quoi mais fiche nous la paix cinq minutes !
-OK. Il sortit en me souriant, je cru fondre mais je me repris et continua à bouillonné de colère.
-Tu trouves mon frère adorable ?
-Qu'est-ce que ça peut te foutre ? T'es partit maintenant, tu n'as plus rien à faire dans ma vie !
-Alors, pourquoi t'es venu ?
-Pour déposer un papier. De ma mère. Et toi pourquoi tu étais venu ?
-Je... Ne peux pas te dire.

Je criai de rage, de toutes mes forces. Le reste devint flou, Lucas voulut m'attraper mais je lui mis mon poing dans sa mâchoire. Il saigne mais rien de grave, j'espère. La douleur ne vint que maintenant ; mes doigts sont bleu et je ne peux plus les bouger.
Ethan rapplique en courant, quand il voit son frère allongé sur le sol il me cri quelque chose. La seule chose que je trouve à faire est de rire, d'un rire de folle.

Lucas, Ethan, Chicago, Zoé

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#Posté le mercredi 23 juillet 2014 05:35

Modifié le dimanche 10 août 2014 18:42

Chapitre 5

Ethan

Vous devez sûrement vous dire : Zoé est juste une adolescente folle, lunatique et bipolaire... Ce n'est pas entièrement faux, mais admettez que je sois normal dans une ville normal avec une vie normal. Comment aurais-je du réagir ? Rire était un réflex qui m'est venu sous la tension du stress, et de l'énervement mais un détail parmi d'autre. Frapper Lucas était, en soi, une façon de lui dire que je ne lui appartenais pas et que je pouvais trouver tout le monde adorable. Si j'avais voulu, j'aurais pu coucher avec lui puis avec son frère et enfin avec son père. Ce n'est pas mon genre mais c'est une façon de dire que nous sommes dans un pays libre, dangereux, meurtrier mais bel et bien libre.

-T'es taré ou quoi ? Me criait Ethan, arrête de rire et va chercher une poche de glace au congélo. A merde, ON A PAS DE QUOI LE SOIGNER OU MÊME D'APPAISER SA BOSSE.

- C'est bon, c'était dans le feu de l'action. Il me parlait comme à une gamine de trois ans qui lui appartenait. Prend le reste de mon eau. Je la lui tendais, il me regarda d'un air méprisant puis la pris.

-Il peut se montrer bizarre. Quand il me parlait de toi, dans ses lettres, il disait que tu restais une sombre inconnue mais que tu lui plaisais quand même. Je pense malgré tes points négatifs aussi. Il riait.

-Je lui plaisais ? Il se fou de moi, il s'enfui sans me dire ou ni pourquoi et je lui plaisais ? Je voulu rire mais je n'arrivais plus.

Ethan porta son frère jusqu'au canapé, non sans peine, et me regarda l'air désolé.

-Je t'aurais bien dragué si tu ne sortais pas avec mon frère, surtout si tu te décides de vivre ici.

Je le regardais de travers, il est bien sérieux là ?

-Pour info je ne sors pas avec ton frère. Ah, autre info : qui t'as dit que j'aurais voulu ? Tu veux draguer toutes les filles que tu trouves au pas de ta porte en ces temps-là ?

-'Faut bien penser à autre chose qu'a ce foutue gouvernement inexistant. Il rigolait de nouveau. Je n'aurais pas dû frapper Lucas, mais Ethan.

OK, vous devez encore penser que je ne suis bonne qu'à être méprisé. Mais comprenez-moi un peu, je viens de mentir à mon meilleur ami qui me draguais...
Je repensais alors à tous ces moments allongé sur son lit, ma tête sur son épaule en riant à ne plus pouvoir... Un sentiment de nostalgie me parcourue, il me draguait sans que je m'en rende compte et maintenant que je le savais je ne le laisserais plus faire.

-Ça va ? Pourquoi tu pleurs, il se rapprochât de moi et essuyât mes larmes avec son pouce.

Il avait fallu que je le rencontre lui aussi... Vous savez c'est le genre de garçon qui vous plait tout de suite, donc vous... NON ! Je me préfère en rogne et frappant tout le monde que en mode guimauve et rose rouge !!!
-J'ai mal aux doigts, je crois que je me les suis cassé. Ah nan, ça va mieux. Mon excuse était bidon, mais j'en avais au moins une.

-Ah, moi qui croyais que je te faisais juste de l'effet, dit-il en riant quand on le tira en arrière d'un coup.

-Éloigne-toi d'elle, beau parleur. Lucas m'avait effrayé, je fis donc un sursaut.

Lucas me fixa d'un air de dégout :

-C'est toi qui me l'a fait alors tu ne peux que te félicité.

-Je, je ne voulais pas te faire de mal. Ça va ?

-Je peux juste dire que tu as une sacrée droite. Tu disais que tu avais un papier à donner au journal ? Je n'étais pas au courant.

-Ah, oui. Ce papier-là. Je fis mine de fouillé dans mon sac. Ah mince, je l'ai oublié ! Mais je suis trop crevé pour rentrer, je reste une nuit avec vous et...

-Il y a des chambres au journal, je t'emmène là-bas de suite.

-Non ! En réalité, j'ai fui la maison. Pour, pour te chercher... Je voudrais rester avec toi.

Je ne suis qu'une grosse cruche, je ne veux pas qu'ils croient que Lucas m'intéresse. De ce point de vue...

Chapitre 5 ♥, Ethan ♥, Lucas, Zoé, Bonne droite

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#Posté le jeudi 07 août 2014 11:47

HumanityIsADanger